Présentation team : Marvin – Ingénieur développeur
19 octobre 2016
Marvin c'est : des noix de cajou, des gamelles de pâtes qui normalement nécessiteraient 4 personnes pour les finir, une volonté de "prendre du poids" et un dashboard. Voilà, les présentations sont faites, creusons maintenant un peu plus dans le personnage ! (pas littéralement hein, parce que sinon c'est pas très gentil). Commençons par le parcours. Scolairement Marvin a toujours su gérer suffisamment pour accrocher la moyenne (ça commence à devenir redondant chez nous), ne pouvant adhérer et s'adapter au système scolaire, et n'a jamais vraiment réussi à trouver un vrai groupe d'attache. Niveau position sur le globe, il n'a pas fait ses premiers pas dans les écoles primaires goudronnées d'île de France comme la majorité d'entre nous, non. Marvin a vécu 10 ans en Guyane puis est allé faire un tour du côté de la Martinique à 11 ans avant de se coltiner une année d'internat en France une fois ses 15 bougies soufflées. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il a préféré l'ambiance de son lit et de call of duty plutôt que l'ambiance des cours d'histoire-géo et René Coty (notre Raïs à nous). S'en suit un redoublement et un retour à la case Martinique. Même combat au lycée ou il n'excelle qu'en musique et en sport, seuls disciplines qui l'intéressent à l'époque. Le sport occupe une grande part de sa jeunesse puisque ses parents le mettent très vite au sport avec son frère jumeau. Résultat : vice champion de judo de Guyane à 10 ans et champion à 11. Autant dire que chez nous, en plus de dev il fait office de vigile. Puis des tatamis il est passé au quick et à la terre battue en arrivant en Martinique et se découvre un talent pédagogique en endossant la casquette d'assistant prof de tennis à 17 ans. Pour ce qui est de la musique, il passe par les traditionnelles années de solfège, souffle dans la flûte et la clarinette, et fait ses gammes pendant 1 ans. Et le BAC dans tout ça, hein ? Et ben tranquille, 10.25 de moyenne. Mention "putain tout juste". Ses parents pensaient d'ailleurs qu'il se frapperait les rattrapages. Rétrospectivement, Marvin garde un souvenir amer de sa scolarité, les seules matières dans lesquelles il excellait étaient celles qui l'intéressaient (normal me direz-vous). Il avait parfois des éclairs d'intérêt et de génie en Physique-chimie (ahh qui ne se souvient pas du bec bunsen) ou SVT, dès lors que le sujet présentait un semblant d'intérêt. Donc le voilà, BAC en poche, des heures d'ennui en salles de classe, et bien entendu sans aucune idée de ce qu'il voulait faire de son avenir, à part jouer (jouer c'est bien). Fort de ce constat, il se dit que l'informatique pourrait potentiellement l'intéresser. Il essaye EPITA, une école d'ingénieur informatique. Résultat ? Il arrête au bout de deux mois avec une overdose de maths et de physique, et un dégoût encore plus immense du système d'éducation en place, identique à celui qu'il avait expérimenté au lycée et qui l'irritait au plus haut point. On tente EPITECH du coup ? Allez. Et là, ça l'alchimie opère enfin ! Bien que soldée d'un échec causé par trop de problèmes personnels, sa première année lui permet d'avoir une révélation sur le code. Il réussit alors sa deuxième année d'un cheveu et jette finalement l'éponge en début de troisième année, submergé par des problèmes extra-scolaires trop importants. Ses parents décident de sévir et lui coupent les vivres, ce qui le force à trouver un job pour pouvoir se loger et manger à sa faim. Il trouve la solution à Sharingbox, entreprise du secteur de l'événementiel, ne faisant certes pas de programmation, mais dans laquelle il s'installe en pensant rester un bon moment. 3 mois chez Sharingbox ont passé, et notre CTO Romain le contacte pour une offre à laquelle il a postulé dans sa phase de recherche d'emploi en décembre 2015. La prise de contact se solde par un accord positif des deux côtés, et Marvin commence donc son aventure chez Smiirl. Il adhère immédiatement au concept, considérant que le projet est cohérent dans la mesure ou pour lui, toute personne qui possède une entreprise/un commerce doit nécessairement être présent sur les réseaux sociaux et/ou avoir un site vitrine. Du coup, l'idée de l'objet physique connecté au virtuel l'a convaincu, accroché et motivé. De plus, Romain lui fait un topo des technologies qu'il va pouvoir exploiter pendant son expérience et l'idée paraît encore plus belle. Aujourd'hui, il est parmi nous sous le statut d'auto entrepreneur, s'éclate comme un gosse chez Toy'R'Us et voit enfin de l'utilité dans le travail qu'il fournit, chose qui lui a fait défaut pendant toute sa scolarité. Et évidemment , l'ambiance de chez Smiirl lui convient parfaitement ! Marvin & Smiirl, c'est une histoire qui roule ! On espère que cet article sur notre super bouffeur de noix de cajou vous a plu, et on vous attend pour un prochain article orienté team ! I'm out 😉